Il s'agit d'un « déchiffrement réciproque, au sens où les textes prescrivent des formes de visibilité des images (sans eux, on risquerait de ne pas savoir "ce qu'il y a à voir") et où les images, en retour, définissent des formes de lisibilité des textes ». Ainsi les clichés de Boiffard relayent « l'automatisme textuel [de Nadja] par un automatisme photographique qui met en lumière des aspects du texte tus ou refoulés par Breton ». De même, dans son roman Austerlitz, qui traite de la déportation ,
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