Avant-propos
Abstract
La question de la résonance tient pour une large part au jeu en miroir entre l’arrière-texte auctorial et l’arrière-texte lectoral. La résonance peut se faire consonance ou dissonance ; la dissonance, voulue ou non par l’auteur, est admise par le lecteur comme marque nécessaire d’actualisation ou perçue comme indice d’imperfection, voire de vieillissement. Dans la scène de lecture, telle qu’on peut parfois la reconstituer, l’audition et l’intellection s’unissent. Il s’agit en même temps, pour l’auteur comme pour son ou ses lecteurs, d’un rapport à la langue.
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