F. De-marc, voir plus particulièrement « Un gentilhomme universel : Anne-Claude de Thubières comte de Caylus », postface à Tirant le Blanc de Joannot Martorell, traduction et adaptation en français par le comte de Caylus (1737), éd, 1997.

. Le-comte-de-caylus, Voir tout particulièrement l'« Introduction » de K. Peeters (« Caylus ou l'affectation de la simplicité, les arts et les lettres, actes du colloque d'Oxford, pp.311-321, 2000.

J. Boch and «. , Antiquités du comte de Caylus », Le comte de Caylus, les arts et les lettres, op? cit?, Approches de la pensée des Lumières, Éditions et Presses universitaires de Reims, pp.261-285, 2012.

J. Boch and «. L'esthétique-du-comte-de-caylus, Littératures, Presses universitaires du Mirail, vol.36, pp.221-245, 1997.

J. Boch, Nous nous permettons de renvoyer à la première section de cette introduction pour une biographie du comte de Caylus, « Introduction » de l'édition critique des Contes de Caylus, pp.717-723, 2005.

, Histoire et recueil des Lazzis, éd. David Trott et Judith Curtis, S?V?E?C? 338, 1996.

M. Plagnol-diéval, Le théâtre de société : un autre théâtre ?, 2003.

M. Fumaroli, . Un, and . Universel?, , p.610

, Salmuel Rocheblave se contentait d'une allusion rapide à la participation de Caylus au théâtre de société de Morville, que M. Fumaroli a évoquée pour sa, p.34, 1889.

, et « Autour de la "société de Morville" et de trois prologues de Caylus (1731-1733) », Le comte de Caylus, les arts et les lettres, op? cit?, vol.1, pp.179-190, 2001.

L. L'amour-précepteur and . De-village, Amour de ville sont mentionnés dans l'inventaire après décès du comte de Morville, et sont encore signalés trente ans plus tard dans celui de sa veuve, Voir Thierry Lefrançois, Charles Coypel, pp.448-449, 1994.

. Oeuvres-diverses, . Amsterdam, and C. Paris, , p.444, 1776.

. Ibid?, , p.446

, OEuvres posthumes du comte de Tressan, t. I, Paris, Desray, 1791, pp.77-78

L. Cabinet-des-fées, T. Xxxvii, /. Amsterdam, and . Paris, Voir également La Bibliothèque des romans, décembre 1776 : « [Mme Le Marchand] jouissait d'une fortune assez honnête pour avoir une bonne maison ; elle y recevait très bonne compagnie, des gens d'esprit et des gens de lettres ; [elle] avait chez elle un théâtre où l'on ne jouait que des pièces de société que l'on savait être de Coypel ou d'elle-même, et il n'y avait jamais qu'un rôle de femme, toujours rempli par Mme Le Marchand, qui avait le talent le plus décidé pour la comédie. Le nombre des spectateurs était borné à trente » (cité par I. Jamieson, Charles-Antoine Coypel premier peintre du roi et auteur dramatique, ses Notices sur les oeuvres de théâtre (éd. Henri Lagrave, vol.1785, p.427, 1930.

, OEuvres diverses, éd. cit, pp.453-454

, Liée par son mari au comte de Tressan (fils de Madeleine-Louise de Brulart-Genlis)

, C'est son second fils, Charles-Alexis, qui épousera en 1763 Stéphanie-Félicité Ducrest de Saint-Aubin

, OEuvres posthumes du comte de Tressan, éd. cit., t. I, p.102

. Tressan-note-au-bas-de-son-Épître-«-À-monsieur-le-marquis-d'armenonville, M. le marquis de Ximenès, quoique bien jeune encore, annonçait déjà les dons et les talents qu'il a fait admirer et estimer depuis. Il serait bien à désirer que M. de Ximenès voulût faire part au public des premières fleurs que sa muse a cueillies, et qu'il y joignît les pièces qu'il peut avoir de MM. d'Armenonville et de Surgères, ses parents et ses amis » (OEuvres diverses, éd. cit, Il doit rester dans les portefeuilles de ceux qui ont vécu dans la société de M. de Morville, plusieurs pièces de son aimable fils, p.447

, On trouve dans les pièces fugitives de Tressan un poème « À Mesdemoiselles de Surgères et d'Armenonville-Amelot, nièce de M. de Bombarde » (OEuvres posthumes, éd. cit., t. I, p.136

, OEuvres posthumes du comte de Tressan, éd. cit., t. I, p.135

. Voir-notre-article-sur-«-la-mort-de-mardi-gras, ainsi que l'édition de la pièce par Alain Sandrier dans Le Théâtre de l'incrédulité? Trois pièces manuscrites des Lumières irréligieuses, pp.37-60, 2000.

F. Mercure-de, , pp.1798-1800

F. Mercure-de, , vol.1732, p.775

, Pièce de Riccoboni et Romagnesi créée le 21 avril 1732 et publiée à Paris chez Briasson la même année

F. Mercure-de, , vol.1732, p.982

, Marquis d'Argenson, Notices sur les oeuvres de théâtre, éd. cit, p.650

, Lettre à Formont, vol.29, issue.1732

. Ars and . Ms, 10161, « Gazetins et nouvelles publiques », 24 février-1 er mars 1732, vol.136

. Lazzi-;-sur-luchon, Avantage de l'esprit, titre d'une pièce de Coypel en un acte reprise en 1731 sur une scène privée par Caylus, qui la met ensuite en trois actes pour être représentée à Morville en 1737. Par ailleurs, dans la scène du 5 e Lazzi évoquant « les audiences de Luchon » en présence de ce dernier, il est question d'un poète qui a « commencé, Notons que dans le 7 e Lazzi, pp.128-129

, Prologue de Caylus pour La Répétition de Coypel, BnF, Ms F.fr. 24351, p.31

L. Bibliothèque-de and . Sorbonne, , 1140.

M. F. Bnf and . Fr, , vol.9298

, La Comédie bourgeoise, sc

L. Comédie-bourgeoise,

«. Je and . Chien-de-théâtre,

S. Damon, le maintien et la prononciation », à quoi « elle ajoute la connaissance de la langue et les mots heureux » ; et, de plus, « elle dirige les sentiments avec certitude

. Le-chevalier-de, Brassac avait composé la musique de L'Empire de l'Amour, ballet héroïque qui venait d'être créé à l'Opéra

, Hémistiche sur Caylus substitué aux quatre vers qui faisaient son éloge dans la première édition du Temple du Goût. L'intéressé n'ayant pas apprécié l'avait fait savoir à Voltaire, auquel il écrit, le 16 juin 1733 : « un homme simple, et retiré de toute affaire, n'aime point que le public parle de lui ; et les amusements d'un homme du monde, surtout dans le genre dont il s'agit ici

, Se trouve aussi commentée en note l'allusion à « Thalie et Melpomène » qui « en secret » viennent parfois « applaudir sur la scène » la « noble jeunesse de France, Il y a plus de vingt maisons dans Paris, dans lesquelles on représente des tragédies et des comédies. On a même fait beaucoup de pièces nouvelles pour ces sociétés particulières » (Ibid?, p, pp.181-182, 1999.

, L'inventaire après décès réalisé à la mort du comte de Morville (Archives nationales, Minutier central, Étude CXV/476) évoque allusivement, en mars 1732

«. Voir-eugène-martin-chabot and . Gio, Paolo Bombarda et sa famille en France », Studi in onore Riccardo Filangieri, Napoli, L'Arte Tipografica, pp.1-28, 1959.

, Voir la notice que lui consacre dans l'Essai sur la musique ancienne et moderne (Paris, 1780, t. IV, pp.94-95

L. Bibliothèque-de and . Sorbonne, Ms 1135, f° 96 et f° 134v°

, Pour les autres pièces, dont on conserve aussi, en général, plusieurs versions, les références des manuscrits correspondants seront données plus loin

, Notons que dans le Ballet Pantomime du Prince Pot à thé se trouve mentionnée explicitement la présence de domestiques parmi les figurants : « La facilité de cette marche permet de déguiser en porcelaine non seulement les acteurs qui sauront danser, mais les valets de la maison

, qui montre comment le jeune homme, envoyé « parachever ses études et s'ouvrir les portes d'une belle carrière militaire », s'initie aux exercices militaires comme aux pratiques mondaines, allant à l'Opéra et à la Comédie-Italienne et se promenant volontiers à la Foire, suivant des leçons de mathématiques et des cours de violon. Peut-être sert-il de modèle à un personnage du Prologue d'une petite comédie en proverbes de 1740 où, moins intéressé par le théâtre que par la musique et la géométrie, Lisimon dit avoir « une sonate de Leclerc à déchiffrer, voir Michel Figeac (La Douceur des Lumières, pp.193-197, 2001.

, Bibliothèque Sade -Papiers de famille I, Paris, Fayard, 1993) par Maurice Lever, qui note que le père de Donatien « aime le théâtre avec passion et ne dédaigne pas de se produire dans des comédies de société », lui-même en ayant écrit plusieurs restées inédites, comme d'autres écrits que son fils « a recueillis et conservés avec un soin extrême, Voir les lettres échangées entre Surgères et le comte de Sade, publiées dans la correspondance de ce dernier, pp.36-63, 1991.

, Un des deux manuscrits de la pièce attribue ce rôle au marquis d'Armenonville

, « Car ce fut dès le premier jour / Que se trouvant propre à l'amour / La pauvre fille fut remplie

J. Gastelier, Lettres sur les Affaires du temps (éd. Henri Duranton), t. I (1738-1741), p.458, 1993.

, Le Prince Périnet ou l'Origine des Pagodes, dont le héros est métamorphosé en pot à thé et transporté dans l'île bleue ou île des porcelaines

. «-pleurez-rocher, . Gas, . Houdreville, . Houx, . Et-loreau et al., / Comme des veaux. / Notre bonne mère voyage / Par les chemins / Et laisse là tout son ménage / Et ses poussins

, Voir sur ce point Marie-Emmanuelle Plagnol-Diéval, Le théâtre de société : un autre théâtre ?

C. Charles-pinot-duclos, . Du-comte-de-***, and S. T. Versini, , p.89, 1969.

, 1981) à la date du 15 janvier 1733 : « Le Complaisant est à sa neuvième représentation, sans que personne ait encore osé s'en déclarer l'auteur. Quelques-uns le donnent à M. Fériol de Pont-de-Veyle, d'autres au marquis de Surgères et à l'abbé Macarti, p.47

, Journal de la Cour et de Paris, éd. cit, p.58

F. Bnf, , pp.306-308, 24346.

, Prologue d'une petite comédie en proverbes (Bibliothèque Mazarine, Ms 4004)

, Les Acteurs rivaux (Bibliothèque Mazarine, Ms 4004), acte I, sc

M. F. Bnf and . Fr, , pp.31-32, 24351.

M. F. Bnf and . Fr, , p.94

, reproduit dans les deux recueils manuscrits (BNF MY 354 et Sorb. Ms 1140)

M. F. Bnf and . Fr, , vol.9304

, le duc de La Vallière note à propos de Coypel qu'il « avait composé plusieurs pièces de théâtre, dont quelques-unes ont été jouées à la Cour, et les autres sur des théâtres de société. Il était fort jaloux de ne pas les rendre publiques, et c'est par une preuve de la plus grande confiance que j'ai eu une copie de toutes celles qu'il avouait. » 66. Observation faite par le marquis d'Argenson à propos du Défiant de Coypel, pièce qui « n'est jouée que chez Mme [Le] Marchand » (Notices, op? cit?, p.418

, Lettre non datée à l'abbé Rothelin, BnF, département des Arts du spectacle, Ms MN, vol.768, pp.11-12

. Correspondance-de-m-me-de-graffigny, V. Oxford, . Foundation, É. J. Iv, M. Dainard et al., , pp.85-86, 1996.

. Ibid?, , p.93

«. Ayant, comme en décembre 1743 : « Après souper, le Chat [Moncrif ] et Blaise [Caylus] nous jouèrent une parade, habillés comme des fous. Cela fut charmant, surtout parce que Blaise était si ivre qu'il ne put plus dire un mot de ce qu'il devait dire, Caylus ne s'en livre pas moins, de temps à autre, chez M lle Quinault, et parfois avec elle, à des divertissements plus ou moins improvisés, p.199, 1997.

. Paris, Administration de l'Alliance des Arts, pp.1843-1845

. Paris and . Bachelin-deflorenne, article « Morville, pp.1737-1741, 1867.

. Henri-d'alméras and . Paul-d'estrée, Les Théâtres libertins au xviii e siècle, p.3, 1905.

L. Claretie, Histoire des théâtres de société, p.20, 1906.

, De même les éditeurs de la Correspondance de M me de Graffigny évoquent-ils encore en note le « château de Morville, près d'Argenteuil, vol.87

, Le Bal de l'Opéra, Les Trois Billets et L'Heureuse Folie), vol.106

T. Paris, Neuf [sic] comédies en prose, par le comte de Caylus, représentées au château de Morville (1737-1741) » ; et n° 1706 « Comment l'esprit vient aux filles, comédie en 3 actes et en vers, par M. (de la Rochefoucauld) de Surgères. -La Princesse Sirenne, farce héroïque, du même (Deux pièces fort spirituelles, jouées sur le théâtre de Morville, 1893.

, « Enrichissements du département des Arts du Spectacle, issue.5, p.86, 1994.

R. Godenne, . Un, and C. De, Les Âges ou la fée du Loreau, comédie en prose en un acte (1739) », S?V?E?C? 106, pp.175-224, 1973.

, Sans doute convient-il d'ajouter à cette liste Les Deux veuves (F.fr. 24351), datée de 1732

, Exception faite de L'Avantage de l'Esprit (F.fr. 9290), dont la copie reste d'ailleurs incomplète

, Ces trois pièces -auxquelles s'ajoute le bref argument du Ballet des Porcelaines ou du Prince Pot à thé (avec un Air et les quatre couplets du Vaudeville final) -sont publiées par Charles Henry dans La Revue libérale en juillet 1884, pp.267-302

, La Revue libérale, juillet 1884, pp.127-129

, Mémoires inédits de Cochin, pp.157-168

, Sur la production écrite du marquis, nous nous permettons de renvoyer à notre article « Un moraliste méconnu du siècle des Lumières : Alexandre-Nicolas de La Rochefoucauld, marquis de Surgères (1709-1760) » (Poétique de la pensée? Mélanges offerts à Jean Dagen, Voir en particulier les manuscrits 654, pp.693-706, 1136.

, Mémoires inédits de Cochin, op? cit?, p.17

L. Bibliothèque-de and . Sorbonne, Ms 677 (voir aussi Ms 678 et Ms 1447)

, L'expression figure dans un article de René Godenne qui a fait date : « Agréable diversité des OEuvres badines du comte de Caylus, pp.1737-1741, 1969.

, Arts du spectacle BnF Bibliothèque nationale de France, Manuscrits occidentaux Sorb. Bibliothèque de la Sorbonne Maz. Bibliothèque Mazarine CF Bibliothèque-Musée de la Comédie-Française SACD Bibliothèque de la Société des Auteurs et, Compositeurs Dramatiques La Princesse Sirenne Surgères CF Ms, 20534.

, Maz. Ms, vol.4004