Détermination et noms de propriété : la réponse en termes de « variétés »
Résumé
Georges Kleiber montre que le passage des noms massifs à des formes comptables ne suppose pas les mêmes mécanismes dans le cas des noms de matières et des noms de propriétés et que ces derniers, modifiés, ne s’expliquent pas en termes de variétés (cf. *Marie a deux patiences d’ange opposé à Nous avons bu hier soir trois vins de 1936). En conséquence, la présence de l’article indéfini un devant les noms de propriétés modifiés n’a pas la même origine que celle de un qui détermine les noms de matière modifiés.
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