À la surface de l’image : l’inscription comme indice de la matérialité de la peinture - Université de Reims Champagne-Ardenne Accéder directement au contenu
Chapitre D'ouvrage Année : 2009

À la surface de l’image : l’inscription comme indice de la matérialité de la peinture

Résumé

Dans les traités d'art de la Renaissance, la surface fait partie de la définition de la peinture. Cependant, la surface n'est là que pour s'effacer devant l'imitation du visible. Selon la conception du tableau-fenêtre, qui prédomine depuis l'invention de la perspective illusionniste dans les années 1420, la surface du tableau se veut transparente et invisible, ouvrant sur un prolongement de l'espace réel. Cette idée entre directement conflit avec la conception du tableau comme une surface opaque, la plus visible possible, qui prévalait dans le gothique international.
Fichier non déposé

Dates et versions

hal-02921139 , version 1 (24-08-2020)

Identifiants

Citer

Emmanuelle Hénin. À la surface de l’image : l’inscription comme indice de la matérialité de la peinture. Dekoninck, Ralph; Guiderdoni-Bruslé, Agnès; Kremer, Nathalie. Aux limites de l’imitation : l'"ut pictura poesis" à l'épreuve de la matière, XVIe-XVIIIe siècles, 342, Brill | Rodopi, pp.51-67, 2009, Faux titre, ISSN 0167-9392, 978-90-420-2751-0. ⟨10.1163/9789042027527_005⟩. ⟨hal-02921139⟩
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