Pour des milieux vivants partagés
Abstract
Maintenir et développer la biodiversité des milieux vivants, assurer la qualité de vie et la durabilité des socio-écosystèmes imposent une réflexion sur l’universel. Mais cela engage une nouvelle conception de l’universel décentrée de l’humain et refondée dans les milieux vivants (qui incluent l’espèce humaine). Il s’agit de définir dans une perspective universaliste la notion de milieu vivant à partir des trois notions individu/espèce/milieu et de la notion de socio-écosystème qui comporte la cohabitation de plusieurs espèces vivantes et donc de plusieurs milieux relatifs aux différentes espèces qui y sont présentes, y compris les humains.