"Le passage du Styx" de Joachim Patinir dans "La montagne blanche" de Jorge Semprún : la culture au secours de l'émotion ? L'art au secours de la vie ?
Abstract
Le tableau de Joachim Patinir "Le passage du Styx", qui revient en fil rouge, ouvrant et fermant "La montagne blanche", n’est qu’un tableau parmi d’autres cités dans le roman, mais sa charge symbolique est telle, et le tableau si présent par rapport aux autres nommés qu’il s’est imposé d’emblée comme le fil rouge de notre réflexion. On ne s’interdira pas d’en citer quelques autres, qui apparaissent çà et là dans le roman, comme aussi d’autres œuvres d’art participant du même processus d’écriture et d’appropriation romanesque, si courant chez Semprún.
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